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Compte-​rendu du CHSCT du 12 fevrier 2013 et

resul­tat de notre enquete sur vos con­di­tions de tra­vail au lumiere


Le 12 février 2013, s’est réuni le CHSCT d’administration cen­trale. La CFDT était représen­tée par Alain BON­ZON, Lau­rent GUICHARD et Ben­jamin SAMICO.

Grace à vos nom­breuses réponses au sondage qu’à mené la CFDT, nous avons pu dégager plusieurs axes de tra­vail et avons ainsi été en mesure de ques­tion­ner l’administration afin de vous défendre au mieux.

Con­cer­nant la restau­ra­tion sur le site du lumière, vous êtes 81% à estimer que les con­di­tions de restau­ra­tion se sont améliorées. Toute­fois, seule­ment 64% d’entre vous con­sid­èrent les tar­ifs plus attractifs.

Vous évo­quez égale­ment l’attente sou­vent impor­tante en zone plats chauds.

Acces­si­bil­ité : Une majorité de col­lègues trou­vent que le bâti­ment est bien desservi par les trans­ports en com­mun. Ils déplorent toute­fois, qu’il soit impos­si­ble d’accéder au T3 dis­tant d’une cen­taine de mètres à vol d’oiseau. En effet, il faut se ren­dre à pieds porte de Char­en­ton pour espérer l’emprunter…

Déplace­ments dans le bâti­ment : L’arrivée unique par les esca­la­tors con­stitue le matin, un goulot d’étranglement pour nos col­lègues leur faisant per­dre beau­coup de temps. Nom­breux sont ceux qui souhait­ent, comme à Asnières, Oudinot, au Ponant, avoir accès à un moyen de badge dans le hall de l’immeuble. Une solu­tion médi­ane, con­sis­tant en l’installation de points de badgage, comme nous l’avons déjà demandé à plusieurs reprises, à l’entrée des plateaux serait très favor­able­ment accueil­lie par nos collègues.

Le point le plus épineux : l’éclairage et l’hygrométrie :

L’ensemble des per­son­nels sondés se plaig­nent de l’éclairage qui est indé­ni­able­ment trop agres­sif, cau­sant de nom­breuses irri­ta­tions oculaires.

Nos col­lègues en sec­ond et troisième jour sont con­traints d’avoir la lumière des pla­fon­niers allumée en continu.

La CFDT a demandé à l’administration de pren­dre en compte ce prob­lème et d’y apporter les solu­tions appropriées.

De plus et pour ne rien arranger, l’hygrométrie des bureaux a été mesurée et dépasse rarement les 30% voire moins (DRCPN un bureau est à 20%) Notons que l’hygrométrie du désert du Sahara est de 14% ! Plaies ocu­laires (cer­ti­fi­cat médi­cal), sinusites, maux de tête et de gorge, sécher­esse des muqueuses. Bref la sit­u­a­tion est grave. Cer­tains de nos col­lègues ont été con­traints d’acquérir des humid­ifi­ca­teurs d’air sur leurs deniers afin de pou­voir travailler !!!!

La CFDT a exigé de l’administration des engage­ments forts afin de régler cette sit­u­a­tion dan­gereuse de tra­vail, ayant déjà entraîné des arrêts de mal­adie, ou encore des men­tions sur le cahier d’hygiène et de sécurité.

L’administration s’est dite très atten­tive à cette ques­tion. Tout prob­lème lié à l’hygrométrie ou à la lumi­nosité doit être sig­nalé au 72000 afin d’être résolu,

soit par le réglage de la cli­ma­ti­sa­tion, soit par l’installation de lam­pes d’une autre couleur, moins agres­sive pour les yeux.

La CFDT reste très vig­i­lante à cette prob­lé­ma­tique et suivra de près l’action de l’administration.

Cli­ma­ti­sa­tion : TO BE OR NOT TO BE… telle est la ques­tion de cette cli­ma­ti­sa­tion capricieuse qui ne fonc­tionne que quand elle le souhaite !. Il peut ainsi exis­ter une ampli­tude ther­mique de près de 10°C d’un bureau à l’autre.

L’administration nous a indiqué que de nom­breux efforts ont été faits par le bailleur. Celui-​ci a changé plusieurs pom­pes à chaleur per­me­t­tant de régler le prob­lème de tem­péra­ture. Toute­fois, des prob­lèmes de réglage peu­vent sub­sis­ter et tout dys­fonc­tion­nement devra être sig­nalé au 72000, afin d’être résolu.

Nous avons égale­ment évo­qué, à votre demande, les con­di­tions d’attente en zone navette. Il nous a été répondu que cette navette était très peu fréquen­tée et que sa sup­pres­sion était à l’étude. Depuis notre emmé­nage­ment à lumière la moyenne de fréquen­ta­tion de la navette est de deux agents par jour

Des véhicules seront mis à dis­po­si­tion, par le SCA, sur demande des direc­tions afin d’assurer des liaisons ponctuelles.

Mez­za­nine de la DSIC : Nos col­lègues de la DSIC déplorent :

- le bruit con­stant lié à la con­fig­u­ra­tion des locaux en open-​space

- l’impossibilité détein­dre la lumière qui fonc­tionne donc continuellement

- l’occultation des fenêtres, empêchant de fait la lumi­nosité de pénétrer dans cet espace

A la demande de la CFDT, une délé­ga­tion du CHSCT se ren­dra sur place pour con­stater ces désagré­ments et pré­coniser des solu­tions pour améliorer les con­di­tions de tra­vail de nos collègues.

Un point de l’ordre du jour était réservé à la sit­u­a­tion de la crèche.

La CFDT est inter­v­enue, à la demande des par­ents, à plusieurs reprises auprès de la fon­da­tion Jean Moulin dans l’intérêt des enfants, pour ten­ter de résoudre les prob­lèmes de chauffage, de fuites d’eau, d’absence de point chaud et de con­ven­tion avec Arpege pour les per­son­nels de la crèche…

Nous déplorons par ailleurs le départ de per­son­nels de la crèche dans un con­texte d’effectifs déjà contraints.

Mme THEIL de la DEPAFI nous a indiqué que le bailleur avait iden­ti­fié un prob­lème de son­des de tem­péra­tures qu’il règle. Toutes les mesures urgentes ont été prises afin d’accueillir les enfants dans des con­di­tions de tem­péra­ture admis­si­bles (entre 22 et 25°C)

Des travaux à Lognes ?

Après un long inven­taire des prob­lèmes bâti­men­taires que con­nait le site des Petites écuries de Lognes, l’administration nous a indiqué avoir mis­sionné un maître d’ouvrage qui a remis en décem­bre, un diag­nos­tic ras­sur­ant. Ce site fera l’objet d’une « réha­bil­i­ta­tion exhaus­tive » en 20142015. Par ailleurs, la créa­tion d’un audi­to­rium a été évo­quée comme celle de l’agrandissement du self.

Des m² pour la paye ?

Avec l’arrivée de nos col­lègues de la DMAT la DEPAFI a entre­pris des démarches auprès du bailleur afin de louer 150 m ² de plus essen­tielle­ment des­tinés à la DRH. Ces nou­velles instal­la­tions devraient recevoir le BFPP (bureau des finances, de la paie et de la prévi­sion) qui du fait de la mise en place de l’ONP (opéra­teur national de paye) regroupera plusieurs bureau de paye existant.